J'acquiesçai de la tête et suivis Kyrsten. Le balancement de ses hanches et de ses fesses généreuses était hypnotique alors que la robe de soleil courte et volantée qu'elle portait se balançait d'un côté à l'autre. Je n'ai pas pu m'empêcher de la regarder, tous mes soucis et inquiétudes se sont tout simplement dissipés. Je l'ai attrapée dans l'ascenseur et l'ai épinglée au mur, essayant de communiquer mon besoin d'elle à travers le baiser. Mes mains trouvèrent ses seins et je les tâtonnai brutalement, la faisant gémir dans ma bouche. Elle n'arrêtait pas de frotter ses hanches contre ma cuisse, et je savais qu'elle avait autant besoin de moi que j'avais besoin d'elle. Nous nous sommes calmés lorsque la porte de l'ascenseur s'est ouverte. Plus de nos amis qui vérifiaient nous ont regardés et ont ri. "Joueur", ai-je entendu l'un des gars dire. Il a dû me voir avec Carly hier. Je suppose que j'allais avoir une réputation très différente après ce week-end. Putain.

Je tendis la main sous la robe de Kyrsten et posai ma main possessivement sur ses fesses. La robe relevée autour de ma main la laissait complètement exposée mais elle s'en fichait. Elle s'appuya simplement contre moi et se dirigea vers ma chambre, heureuse et calme. J'ai remarqué quelques lycéens près de notre porte qui s'affairaient et riaient. En approchant, ils ont réalisé que c'était ma chambre et sont partis en riant. Avant d'ouvrir la porte, je me suis arrêté et j'ai écouté. Clair comme le jour, on entendait Carly sortir de la pièce. "Maître... s'il vous plaît... maître. Utilisez-moi... Utilisez vos trous de fente. J'ai été élevé pour vous. S'il vous plaît, Maître. S'il vous plaît, violez-moi avec votre bite blanche parfaite... S'il vous plaît. S'il vous plaît, j'en ai besoin, Maître . J'ai besoin de toi. Je t'aime. Je te veux. Je t'aime. Maître. Je suis tes trous. Rends-moi utile, Maître. le hall. C'était une exclamation de frustration débordante. Kyrsten et moi étions partis depuis près de trois heures et Carly commençait visiblement à s'effondrer. Glorieusement démêlé.

J'ai jeté un coup d'œil dans le couloir et, le voyant vide, j'ai regardé Kyrsten et j'ai simplement dit : « Strip ». Elle m'a regardé pendant un instant avant de laisser sans un mot la robe fluide tomber en une flaque autour de ses pieds. "Le reste, salope," lui dis-je et elle enleva rapidement le soutien-gorge aussi. Elle se tenait maintenant portant seulement ses talons. J'ai pincé ses mamelons grossièrement d'une main pendant que je faisais glisser la carte-clé sur le capteur avec l'autre. Le déclic n'était pas assez fort pour que Carly l'entende et nous nous sommes faufilés dans la pièce comme deux fiers parents prêts à regarder notre nouveau-né. Mais à la place, nous étions deux adultes super excités regardant notre esclave asiatique salope. Carly était un gâchis complet. Le sperme était incrusté dans ses cheveux et sur son visage, elle avait des spasmes sur le lit, les yeux fermés alors qu'elle retirait les pinces à tétons à plusieurs reprises. Ses hanches avançaient à chaque fois, comme si elle se retournait contre une bite invisible. Un coq géant, blanc et imaginaire, j'en suis sûr. Elle était trop perdue pour nous entendre ou même sentir notre présence. J'ai défait ma ceinture et j'ai fait signe à Kyrsten d'enlever mes vêtements. Je me suis positionné au pied du lit, regardant le trou de baise béant de Carly. Kyrsten était à genoux, clouée au lit alors que je poussais ma bite maintenant nue dans sa gorge. Avant que Carly ne réalise qu'elle n'était pas seule, j'ai ramené la ceinture en cuir carrément sur son clitoris.


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La réaction n'a pas de prix. Elle a crié, je pense presque venir. "FUCKK... oui... Maître... Oh mon Dieu, j'ai besoin de toi. J'ai besoin de tout. J'ai besoin de toi. Fais-moi mal. Je ne peux pas penser. Je suis putain de brisée, Maître », a-t-elle dit alors que je faisais pleuvoir des coups de fouet sur son clitoris pendant que Kyrsten essayait de me sucer la bite.

"Viens pour moi, espèce de garce stupide et pathétique. Montre-moi quelle stupide salope de douleur tu es devenue," lui dis-je en tapotant trois fois son clitoris avec mon doigt. C'en était trop pour elle. Elle a joui fort, s'éjectant du jus et criant assez fort pour réveiller les morts. Je l'ai baisée au doigt pendant qu'elle jouissait et elle a eu des spasmes encore et encore, se tordant, se tordant et tremblant de façon incontrôlable.

Elle a commencé à récupérer alors que je plongeais ma bite complètement dans la gorge de Kyrsten. "Tu sens à quel point ma putain de minable pathétique m'a, Kyrsten ?"

La rousse a simplement marmonné autour de ma bite tout en continuant à me sucer. Sa main était entre ses jambes caressant frénétiquement son clitoris. Compte tenu de mon récent orgasme, je n'allais pas pouvoir jouir facilement, alors j'ai décidé de donner une pause à Kyrsten. Je me suis allongé sur le lit et j'ai tiré Carly sur moi. "Tu as 15 minutes pour me faire jouir. Si tu ne le fais pas, tu vas porter ton collier de salope pendant que tu vas frapper à toutes les portes de nos amis et t'excuser pour le bruit que tu as fait ce week-end."

Carly haleta et me chevaucha rapidement, s'empalant avec un gémissement désespéré.

J'ai jeté ma montre à Kyrsten qui reprenait encore son souffle par terre : « Regarde l'heure, salope. Si elle ne me fait pas jouir à temps, tu peux me tirer d'elle et je finirai dans un des trous."

J'ai dit cela, curieux de savoir quelle serait la réaction de Carly. Je n'avais pas besoin de m'inquiéter. Elle a roulé des yeux et arqué son dos, "Mon petit trou asiatique serré a été élevé pour votre bite, Maître. Je gagnerai votre