Salut, vous allez bien malgré la rentrée ? Non en fait ne répondez pas, je m'en fous car maintenant on va passer à la Revue Des Projets, chose qui se fait rare par les temps qui courent ! En plus pour cette édition on a du lourd, de l'inattendu, du jamais vu (en même temps ce ne sont que des projets donc on ne peut pas les avoir vu), de l'international !


Parce que oui, la Revue Des Projets a maintenant une réputation qui la précède même à l'international ! La NASA a d'ailleurs voulu nous piquer le concept mais on leur a fait comprendre qui c'étaient les patrons et qu'ils ne nous auraient pas avec des offres de quelques milliards. (cette histoire est véridique ! Ou presque mais bon à quelques détails près*) Nous offrons donc pour s'ouvrir à cette nouvelle audience des articles en Anglais, bientôt en Mandarin aussi. Le Russe est prévu pour 2018.





Par contre la rédaction n'a pas eu le temps de se former dans ces langues étrangères car on ne devrait parler que le Français sur Terre puisque c'est la plus belle langue, donc ne me demandez pas ce que ça veut dire. Ça peut tout aussi bien parler de la congolexicomatisation des lois du marché, de l'essor de l'immobilisme néoclassique transcendantal dans l’œuvre secondaire métaphysique de Schopenhauer ou de la recette d'un dessert typique de l'équateur pour les grandes occasions entre licornes. De toute façon je suis payé à l'article et non à la qualité alors je m'en fiche. Justement, puisque je suis payé à l'article, on va vite le terminer et donc enchaîner avec un autre projet, sans transition parce que je suis un thug de la rédaction. Hé ouais.





Il a dit « à très bientôt », pourquoi en dirais-je plus ?


* Les quelques petites et insignifiantes différences sont que ce n'est pas la NASA qui nous a contacté mais Mme. Michou, concierge de l'immeuble de la rue Montaigne qui voulait gérer le site internet de son immeuble en rajoutant des articles et qui avait besoin d'aide parce que « le bidule qui clignote rouge sur l'ordi ne marche pas, c'est encore à cause de l’obsolescence programmée, ah de mon temps le frigo il durait 20 ans au moins, celui de ma mère a même fait les deux guerres sans une éraflure ! »